Son oeuvre autobiographique est intéressante dans le sens où l'art devient un exutoire (il lui permet d'exprimer et d'extérioriser ses douleurs).
Sa peinture reflètera ses blessures physiques (traumatismes post-opératoire) et morales (les infidélités de son mari), mais aussi son engagement politique et culturel.
En effet, elle subira plus de 30 opérations pour réparer sa colonne vertébrale et son bassin fracturéet finira sa vie en fauteuil roulant. Elle ne pourra pas avoir d'enfant et du avorter.
Elle défendra la cause des femmes indiennes, dont elle portait tuniques et bijoux. Ses tuniques venaient de Théhuantepec, société matriarcale : organisée par les femmes.
Enfin, elle s'engagea au niveau politique en défendant la cause indienne et en adhérant au parti communiste.