Les lagunes de Montebello
 

Les lagunes se trouvent dans le sud du Chiapas, à la frontière avec le Guatemala. Elles sont protégées dans une réserves naturelle. Il y a 16 lacs qui offrente des paysages et des couleurs différents.
Pour les visiter, on peut utiliser 2 routes principales : une vers l'est et une vers le nord. Ce n'est qu'en face de l'entrée du parc qe l'on peut visualiser une carte des lacs... (pas d'office de tourisme à proximité ni de carte dans notre guide...)


Et celle de l'entrée du parc... pas si différente


La carte dessinée par Muriel pour pouvoir s'orienter !
 

La route/jungle qui mène aux cinco lagos

La route de l'est

La route qui va jusqu'au lac Tziscao a une végétation qui ressemble à la jungle. La forêt est humide et dense avec des palmiers et des plantes grasses. Au bout de la route se trouve le Lac Tziscao, le plus grand lac du parc. C'est aussi là que vit un petit village frontalier. C'est le lago international qui fait la frontière avec le Guatemala.
On peut aussi voir les cinco lagos qui se suivent au milieu de la forêt, les lagunas de Montebello, La canada et le lago Pojoj.

 

La route du nord

Cette route qui mène au Bosque azul est bordée d'une forêt de pin avec des sous-bois assez secs. Pour accéder à ce grand lac bleu où se termine la route, on passe par le lago turquoise, le lago agua tinta, la luguna encantada et esmeralda.
Tous ces lacs très proches les uns des autres proposent des couleurs bien différentes et magnifiques.
Au milieu de la forêt, il y a un petit cimetière typique et très coloré.


La route et le lac Ensueno
 

Une des rues principales de Tziscao

La vie du Parc

Dans ce parc naturel, il n'y a qu'un village important : Tziscao qui vit essentiellement de la production de café et du (faible) tourisme. Au Bosque Azul, il y a d'autres habitations. Les gens boivent l'eau des lacs qu'ils vont chercher avec des jarres sur la tête et se nourrissent de son poisson.
A la fin des années 90, lors des problèmes politiques au Guatemala, Tziscao a servi de centre pour les réfugiés guatémaltèques.