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La pollution au Guatemala |
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Quand on se promène au Guatemala, on est frappé par la dégradation générale de l'environnement. Sur toutes les routes et chemin, on trouve des bouteilles en plastique, des emballages de friandises et autres cannettes. En effet, les gens jètent leurs détritus par les fenêtres des bus ou dans les rues sans se soucier de la pollution que cela créé. Il faut préciser qu'il n'y a pas de poubelles à tous les coins de rue, loin de là... |

En moins de 20 minutes, voilà ce que Hélène a ramassé dans la montagne autour du Lac Atitlan... désolant |
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Le travail du bois exotique à El Remate |
La dégradation de l'environnement provient aussi du peu de préoccupation de l'utilisation des ressources naturelles. La jungle du Péten a ainsi été grandement décimée dans les années 80 pour fournir des terres cultivables. Aujourd'hui ce bois exotique est exploité pour faire des objets d'art ou des meubles. On en coupe donc beaucoup moins |
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L'eau qui est, dans certaines régions, une ressource limitée est consommée sans compter. Il n'y a pas de système de renouvellement et d'épuration des eaux. C'est ainsi que le Lac Atitlan a vu son niveau diminuer de 10 mètres en 30 ans. Avec le tourisme grandissant dans cette zone, la situation n'est pas sur la voie de l'amélioration. |
Toutes les terres cultivées (sans arbres) étaient recouvertes par le lac, avant |
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Une rue de Santa Elena |
Au niveau de la pollution des voitures, les véhicules sont très vieux et polluent donc beaucoup. Le contrôle n'existe pas et heureusement sinon plus personne ne pourrait rouler !! Entre la poussière des routes non goudronnées et la fumée des pots d'échappement, l'air n'est pas très respirable en ville. Mais, il n'y a pas énormément de véhicules et on ne voit pas souvent de gros embouteillages comme en Europe. |
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