|
Dans un quartier bien défini du nord de la capitale, sur des dizaines de rues, s'étend le marché. Chaque rue a sa spécificité et on y trouve davantage de choses que dans un supermarché. La différence est qu'ici, toutes les rues sont en pente et qu'il est vite fatiguant de faire ses courses, d'un coin du marché à l'autre.
Toute la journée, les rues fourmillent de gens et c'est un véritable lieu de vie que l'on a sous les yeux : on y mange, fait la sieste, ses devoirs, marchande, achalande...
|

Les stands de bricolage et les devoirs |
|
|
La rue marchande de la laine et celle de la sorcellerie |
Comme sur tous les marchés boliviens, on trouve de la viande, des fruits et légumes. En plus, ici, il y a un quartier pour les tissus (laine, matériel de couture...), pour les tuyauteries, les baignoires, les tuyaux d'arrosage, les CD's, les vêtements... Mais surtout il y a le marché de la sorcellerie ! Dans ces petites boutiques qui ne sentent pas vraiment bon, on trouve des herbes en tout genrepour guérir tous les maux de la terre. On trouve aussi des foetus de lama séchés que l'on enterre dans les fondatons de sa maison en pffrande à la Pachamama. |
|